Gestes et pensées politiques de Picasso
par Bernadette Caille
Sommaire
- >> Orientations politiques et anti-académisme du cubisme
- >> La guerre en filigrane
- >> "Songes et mensonges de Franco" puis "Guernica" en 1937, des cris et de la politique
- >> Briser l’inéluctable et faire voir ce qu’on a peur d’entendre.
- >> « Souvenir, souvenir »: l’auteur n’est pas celui qu’on croit !
- >> Au PCF, « Je suis de nouveau parmi mes frères… »
- >> Peindre la paix, au milieu des conflits armés
- >> Le "Portrait de Staline", une condamnation de « sa » famille
- >> L’ami Maurice Thorez et des cas de conscience

Les rapports de Picasso et de la politique sont en général analysés au travers de ses engagements les plus spectaculaires : ses œuvres « politiques » de 1937, en particulier Guernica et son engagement au parti communiste français à partir de 1944.
Si ces deux épisodes sont essentiels dans la trajectoire personnelle et artistique de l’artiste, ils n’en occultent pas moins ses évolutions.